par admin6339 | Juil 19, 2021
Le Conseil de Participation de Charleroi Sud vous invite à profiter d’une journée de spectacles, concerts et animations pour petits et grands, ce 21 juillet – jour de fête nationale – à la Ruche Théâtre Royal (Avenue Meurée, 1 6001 Marcinelle).
Entrée gratuite ! Bar et petite restauration sur place.
INSCRIPTION OBLIGATOIRE via l’adresse e-mail : inscription@mpa80.be. Précisez nom/prénom + nombre de personnes + quelle(s) tranche(s) horaire(s) vous intéresse(nt).
LE PROGRAMME
Scène extérieure
* première tranche horaire de 15h à 19h
Arrivée des spectateurs à 14h30
15h00 > 17h00 Sono Babis ( animation enfants )
18h00 > 18h30 Go Slam City Collectif ( Slam )
* deuxième tranche horaire de 19h à 21h
Arrivée des spectateurs à 18h45
19h00 > 20h30 Les Grands Ducs (Chanson Française)
Scène intérieure
* première tranche horaire de 15h30 à 19h
Arrivée des spectateurs 15h
15h30 > 17h00 Un matin ( Cover Goldman )
17h30 > 18h30 24A7 jazzy Bluesy Band ( Jazz )
* deuxième tranche horaire de 19h à 22h30
Arrivée des spectateurs à 18h45
19h00 > 20h00 JIM (Compo français/anglais)
20h30 > 22h30 Remenber Rock Band (cover Rock)
* Imp-Act Cie (artistes déambulatoires reporters rapporteurs)
Infos au 071/53.91.53 (joignable du lundi au vendredi de 09h00 à 16h00).
Evènement organisé dans le respect des mesures COVID-19. Masque obligatoire : 100 personnes max à l’intérieur et 50 à l’extérieur (sauf enfant de – de 12ans).
par admin6339 | Juil 12, 2021
Les journaux “L’Avenir” dressent le constat, témoignages à l’appui : les associations en Wallonie ont été le plus touchées par la crise du coronavirus.
En février, divers bourgmestres interrogés manifestaient la même crainte : quel sera l’impact du coronavirus sur le secteur associatif, celui qui fait battre le cœur de votre commune, de votre village ? Comités des fêtes, clubs sportifs, fanfares… les associations forment un véritable tissu social. Et c’est la perte de ce tissu qui inquiétait les mandataires. Publié fin 2020 (voir l’article dans nos pages “actualités” : La Fondation Roi Baudouin vous présente son rapport d’activités 2020 | Maison pour associations), le baromètre des associations réalisé à l’initiative de la Fondation Roi Baudouin dressait déjà un tableau assez pessimiste. 49 % des associations interrogées disaient avoir connu une dégradation de leur situation financière au cours des douze derniers mois (contre seulement 19 % en 2018). 95 % estimaient que la cause était la crise du Covid-19. Et un tiers d’entre elles ne prévoyaient pas d’amélioration pour l’année à venir.
Les associations wallonnes durement frappées
Ce baromètre interrogeait des associations de toutes tailles et actives dans tous les secteurs. Mais les associations les plus impactées par des problèmes financiers sont celles de petite taille, situées en Wallonie, actives dans le secteur culturel et des loisirs. Christian Leclercq est bourgmestre de Silly et président du festival «Théâtre au vert» à Thoricourt. Il confirme la situation financière compliquée. « Nous avons organisé le festival l’an passé avec une réduction de jauge de 75 %, ce qui nous a amené une importante perte de recettes propres. Nous avons aussi engagé durant les 4 jours des comédiens pour assurer le bon respect des règles sanitaires. C’était une manière pour nous de théâtraliser la crise sanitaire et surtout d’engager des comédiens. Les frais sanitaires nous ont coûté près de 5 000 €. » Cette année, le festival fête ses 20 ans. « On a beaucoup moins d’argent en caisse mais la même énergie pour retrouver notre public avec des jauges plus favorables. Même si on est encore à 40 % de pertes.»
Coûts fixes et confiance
À Namur, l’ASBL Namur Events organise plusieurs événements grand public au fil de l’année (Apéros namurois, Namur Capitale de la bière…). Depuis mars 2020, ce sont une dizaine d’événements qui ont dû être annulés. « L’impact principal est évidemment financier. Les coûts fixes restent (location d’une zone de stockage, comptable, assurances, etc.) mais plus rien ne rentre. » Et les finances de l’association auraient pu être encore plus touchées, comme nous le précise Émilien Watelet : « Pour l’édition de juillet 2020 de Namur Capitale de la bière et du terroir, plusieurs acomptes avaient déjà été payés et tous les exposants avaient réglé leur participation. Heureusement, leur confiance a été d’un grand support. La majorité d’entre eux a en effet décidé de nous laisser le montant pour l’année suivante. Et finalement, ce sera pour 2022, car les conditions d’organisation pour un événement de 10.000 personnes sur 3 jours sont encore trop floues pour espérer une préparation sereine et un événement pérenne. »
Privée de locations
Les pertes financières peuvent aussi provenir de locations de salle annulées, comme le confie à L’Avenir Jacques Jacquemart, secrétaire de l’ASBL Le D’Zy, à Ferrières (province de Liège). « Le D’Zy n’organise pratiquement aucune activité, mais loue ses locaux pour des fêtes publiques ou privées, pour des camps de jeunes… Nous louons également sur le long terme l’ancien logement du café. Les seules recettes sont donc les locations. Nous ne bénéficions d’aucun subside. Outre les entretiens et réparations d’infrastructures (en moyenne 3 000€ par an), les dépenses principales sont les assurances (+/– 2 043 € par an) et le précompte immobilier (+/– 2 350 € par an ). Ces trois postes représentent donc +/– 142 € par semaine ! » Le secrétaire a fait ses comptes : « Nous avions 45 réservations fermes pour l’année 2020. Suite aux mesures sanitaires, de nombreux locataires ont été contraints d’annuler leur réservation. Nous avons remboursé les acomptes. Nous avons perdu 25 réservations, ce qui représente 46,8 % de nos recettes. »
Disparition des bénévoles
Sans ses bénévoles, que serait le monde associatif ? Sur l’aspect humain, le Covid a également eu un impact. Une association belge sur trois a perdu 50 % de ses bénévoles. La perte de bénévoles, la disparition de liens sociaux a un impact humain difficilement chiffrable mais bien présent. « Cette crise sanitaire laissera assurément des traces dans tout ce qui associatif; la perte de contacts, l’interruption des activités, l’annulation répétée d’événements, tout cela sera difficile à récupérer malgré les contacts entretenus par mails, SMS ou courriers, nous raconte Jean Marchal, président du cercle philatélique «Zéphir Demanet» à Hastière. Néanmoins, le plus important était et reste de nous préserver les uns les autres afin d’espérer une vraie remise en route de nos activités philatéliques. »
Comment renouer avec les bénévoles ?
« Ce sont essentiellement les grandes et très grandes associations qui ont perdu des bénévoles », contextualise Sophie Van Malleghem (Fondation Roi Baudouin). C’est donc plus facile de relancer un appel aux bonnes volontés. En Belgique, un bénévole sur trois étant âgé de plus de 60 ans, le tissu associatif pourrait ressortir fragilisé par la crise. Une association locale ayant perdu une cheville ouvrière risque, par exemple, d’avoir du mal à se relancer, voire à survivre. Pour les autres, la coordinatrice de projets dans le programme «Engagement sociétal» de la Fondation Roi Baudouin conseille de travailler sur la communication et la transparence. « Mais je pense qu’il y a une attente de la part des membres de se retrouver, de retrouver le collectif et de faire corps ensemble. » Emmeline Orban, secrétaire générale de la Plateforme francophone du volontariat, est un peu plus mitigée : « Le sentiment d’attachement s’est effrité. Il y a beaucoup de questionnements concernant la reprise, est-ce que ça va encore être comme avant ? Il ne faut pas négliger la peur de retrouver des gens, de revenir au contact. C’est compliqué, la peur de l’autre. Et puis, il ne faut pas oublier que des volontaires ont perdu le contact car ils n’utilisent pas de mails. » Depuis 2017, Katel Freson est en contact avec le monde associatif, via l’ASBL Générations solidaires. Un monde qu’elle a vu s’adapter à la crise du coronavirus. « Je ne veux pas venir avec un regard de Bisounours mais je constate que les associations ont su se réinventer pour garder le contact avec le public. Elles ont profité de ce temps d’arrêt forcé pour repenser de nouveaux projets. » Une résilience également soulignée par Sophie Van Malleghem et Emmeline Orban.
De l’agonie à l’espoir
Du côté d’Arlon, le club photo IRAS (Image-Rail Arlon-Stockem) est également sorti du Covid lessivé. « Si, au début, beaucoup de membres ont sorti leur appareil photo et envoyé au groupe, par internet, une image, au fil du temps, la source s’est tarie, les membres ont déserté et certains ont même démissionné, explique Guy Heurion, le président. L’un de nous a résumé l’état dans lequel se trouve le club: agonie. Mais le désespoir ne fait pas partie de notre vocabulaire: nous espérons une reprise de nos activités et un regain d’intérêt, des retrouvailles physiques, une émulation et la réalisation d’un vrai salon qui fera revivre notre club. » Un espoir partagé aux quatre coins de la Wallonie.
Les subsides et aides exceptionnelles ont permis à des associations de garder la tête hors de l’eau
Sophie Van Malleghem (Fondation Roi Baudouin) met en avant la stabilité financière qui était ressortie du baromètre pour l’année 2018 et la dégradation de 2020. « Toutefois, le secteur associatif est fortement soutenu par les acteurs publics. Les subsides publics touchent 7 ASBL sur 10. » L’État joue, selon elle, un rôle de filet de sécurité. « Il agit comme un ralentisseur.” Un filet qui peut se traduire par la mise à disposition gratuitement d’installations. Durant la crise, la Fondation Roi Baudouin a d’ailleurs lancé une série d’actions de soutien en lançant des appels spécifiques. Une démarche inhabituelle : «Normalement, nous ne travaillons pas dans l’urgence », précise Sophie Van Malleghem. Le montant et le nombre d’associations bénéficiaires donnent une idée de l’impact de la pandémie. Rien que lors de la première vague du printemps 2020, « 800 organisations et associations ont reçu une aide de 10 000 €, pour un montant de quelque 8 millions d’euros », indique la fondation.
Réserve et débrouille
À côté de ces aides, les associations ont dû puiser dans leurs fonds de réserve (quand elles en avaient) ou tenter de trouver des solutions. L’association du D’Zy, par exemple, a reporté certains travaux. « Nous avons aussi obtenu la suspension provisoire de remboursement du capital d’un emprunt fait lors de la rénovation de la toiture, ce qui augmente hélas les intérêts totaux. » 2022 devrait être cruciale pour quantité d’associations.
par admin6339 | Juil 8, 2021
Vous êtes jeunes, vous souhaitez apporter des solutions concrètes et durable à des enjeux sociaux qui existent dans votre quartier ? Vous cherchez un coaching professionnel pour transformer votre bonne idée en action, ainsi qu’un soutien financier pour la mise en œuvre de votre projet ? Alors cet appel est pour vous !
Le Fonds Reine Mathilde, géré par la Fondation Roi Baudoin, veut offrir à des jeunes d’horizons divers l’accompagnement nécessaire pour s’engager ensemble, s’impliquer, et apporter une solution à un problème sociétal qui existe dans leur environnement proche. Le but est de permettre à des jeunes, en devenant acteurs de leurs projets, de développer des compétences entrepreneuriales qu’ils utiliseront toute leur vie comme l’esprit d’équipe, la créativité, la persévérance, le sens des responsabilités, les vertus de l’échec, la communication, la planification et le suivi, la stratégie, l’évaluation, les partenariats.
Il doit s’agir de projets :
– menés ‘par des jeunes et pour des jeunes’ dans divers secteurs (bien-être, santé, sport, culture, durabilité, cohésion sociale,…)
– et dont le résultat bénéficie directement aux jeunes.
Le Fonds Reine Mathilde offre un trajet d’accompagnement professionnel, réparti sur 10 mois, et composé d’ateliers collectifs et de coaching individuel. En plus de cet accompagnement, les projets sélectionnés bénéficient d’un soutien compris entre 3.000 € et 7.000 €.
L’appel s’adresse à toutes les organisations belges non commerciales (aussi bien des organisations matures que des structures qui démarrent) qui travaillent en Belgique avec des jeunes, en mettant particulièrement l’accent sur des filles et des garçons en situation de vulnérabilité (quelle que soit la nature de cette vulnérabilité).
Si cet appel vous intéresse, vous avez jusqu’au 30 septembre 2021 pour soumettre votre dossier de candidature via le lien suivant : https://www.kbs-frb.be/…/Activ…/Calls/2021/20210706DD….
par admin6339 | Juil 7, 2021
En avril dernier, la Ville de Charleroi lançait un appel dédié au secteur associatif non-subventionné. Le Conseil communal avait préalablement voté le règlement de cet appel le 29 mars. Sur proposition de l’échevine de la Participation et des Quartiers Julie Patte, la Ville répondait ainsi au S.O.S lancé par de nombreuses associations ne bénéficiant d’aucune aide publique et qui ont subi durement les effets de la crise sanitaire, notamment en raison de l’annulation de projets et d’activités génératrices de recettes.
Après analyse des dossiers et pièces justificatives par les services de la Ville assistée de la Maison Pour Associations, le Conseil communal a attribué un soutien exceptionnel de 2.499 € à 28 associations carolorégiennes pour un montant global de 69.972 €. Ce montant leur permettra de faire face à leurs frais de fonctionnement.
La Ville a reçu 54 demandes dont 28 répondaient aux conditions d’octroi telles que les obligations légales, la durée d’existence et l’absence d’autre aide publique.
« Nous sommes vraiment heureux d’avoir pu entendre cet appel à l’aide car le secteur associatif est un acteur important de notre système économique et social » explique Julie Patte dans La Nouvelle Gazette. « Or, poursuit-elle, une partie de celui-ci était passée à travers les mailles du filet d’aides exceptionnelles. Ce soutien modeste leur évitera la pure et simple disparition dans certains cas. Parmi les associations aidées, on trouve de petites structures actives dans des domaines aussi variés que la prévention, la jeunesse, le soutien scolaire, l’aide aux plus démunis, les loisirs, la cohésion sociale, l’animation dans les quartiers… ».
Tous les crédits n’ayant pas été épuisés (la subvention était plafonnée à 2.499 €), la Ville lancera probablement un nouvel appel en septembre, assorti de règles assouplies.
par admin6339 | Juil 6, 2021
Une majoration de l’indemnité mensuelle est prévue pour les catégories suivantes :
- animateur, chef, moniteur ou coordinateur qui dispense une initiation sportive et/ou des activités sportives;
- entraîneur sportif, professeur de sport, coach sportif, coordinateur des sports pour les jeunes, arbitre sportif, membre du jury, steward, responsable du terrain ou du matériel, signaleur aux compétitions sportives.
Le montant de l’indemnité mensuelle sera doublé. Il passera de 532,50 euros à 1.065 euros. Le montant annuel autorisé, lui, demeure inchangé.
Cette mesure est entrée en vigueur le 1er juillet 2021 et cessera d’être en vigueur le 30 septembre 2021.
Pour plus d’infos : Le travail associatif : doublement du montant mensuel autorisé pendant les mois d’été de 2021 et projet d’extension vers d’autres activités | Group S
par admin6339 | Juil 3, 2021
La campagne d’échange se clôturait ce 30 juin. L’échevin des Finances et le trésorier de l’ASBL dressent un bilan dans le journal L’Avenir.
Dix mois après les premières vagues d’envoi de titres carol’or, cette mesure de relance s’achève sur un taux d’exécution de 81 %. « L’encaissement des titres a représenté une dépense d’un peu moins de 3,5 millions d’euros, selon l’échevin en charge des Finances Thomas Parmentier. Mais 45 000 titres n’ont pas été présentés par leurs bénéficiaires, ni dans les commerces partenaires, ni au comptoir d’échange de l’ASBL dans la rue de la Montagne. »
C’est donc un montant de 909 000 euros qui ne sortira finalement pas des caisses de la Ville.
Le total des dépenses dépasse de loin les prévisions. Comme le remarque le trésorier de l’ASBL Carol’or, Jean-Marie Verbeght, des opérations semblables menées à l’étranger ont rarement mobilisé plus de 70 % des participants. « Or, nous sommes 10 % devant, c’est donc un indéniable succès», analyse l’échevin Parmentier.
La devise locale a gagné en notoriété : les conditions fixées afin de booster les circuits courts ont permis de recruter 450 commerces et artisans locaux, qui, grâce à leur adhésion, ont eux-mêmes attiré des clients qu’ils ont en large partie fidélisés. L’étape suivante, c’est de favoriser le recours aux carol’ors pour le paiement des prestations B to B, entre professionnels. « C’est un phénomène pour lequel il n’existe aucun outil de mesure, selon le trésorier. Plus on parle de la monnaie locale de Charleroi, plus on encourage son utilisation. »
L’ASBL a fait face ces derniers jours à un afflux de citoyens venus échanger leurs titres en coupures. Ces opérations n’ont toutefois concerné qu’un infime pourcentage d’habitants, quelques centaines à peine, sur plus de 202 000. À l’échelle de la ville, Thomas Parmentier pointe deux chiffres : 4 500 appels ont été reçus au numéro gratuit 0800 mis en place au sein de l’administration, auxquels il faut ajouter 500 demandes d’info par mail. En termes d’image, Charleroi tire les marrons du feu : « Dans le monde, aucune autre Ville n’a émis autant de monnaie locale dans son économie, souligne le trésorier, Jean-Marie Verbeght. Cela nous a valu de nombreuses marques d’intérêt d’autres Communes wallonnes. »
par admin6339 | Juil 3, 2021
Pour la deuxième année de suite, la Ville de Charleroi s’associe à l’écosystème Proximity, sous l’impulsion de l’échevin en charge de la Transition écologique Xavier Desgain, et a lancé ce 8 juin un appel à projets.
L’idée, ici, vise à apporter un accompagnement et une aide financière à des projets portés par les citoyens et associations en faveur de la transition écologique et solidaire, tout en y impliquant les entreprises, commerces et organisations qui le souhaitent. C’est l’opportunité pour de nombreux acteurs du Pays Noir de s’impliquer.
L’an dernier, la Ville de Charleroi avait injecté 50.000 € dans Proximity. Cette fois, l’enveloppe ne comporte pas moins de 69.000 € qui seront répartis entre les différents projets, avec un plafond de 10.000 € par projet. Les entreprises et organisations pourront, pour soutenir les projets, apporter une aide financière ou logistique, par exemple. Les lauréats, eux, seront encadrés par Be Planet, fondation à l’initiative des fédérations des associations environnementales et de personnalités de différents horizons.
Pour donner un exemple concret, on pourrait imaginer un projet de compostage, porté par des citoyens et utile à un restaurateur. Une opération win-win. Mais Proximity ne ferme la porte à rien : les thèmes peuvent toucher tant à l’environnement qu’à la biodiversité, la mobilité, l’alimentation ou encore l’agriculture.
Pour participer, il suffit de faire parvenir sa candidature avant le 17 septembre. Un jury indépendant, composé d’experts et de citoyens, désignera les lauréats. Une campagne de mobilisation sera également lancée à Charleroi pour récolter des moyens financiers, du matériel, des compétences, du bénévolat… Et pour soutenir cette campagne et accompagner les projets du territoire, Charleroi Nature, l’ASBL Centre ENER’J et l’ASBL Monceau-Fontaine ont déjà rejoint l’équipe d’ambassadeurs de 2021.
Mélissa Bongi, de Be Planet : « L’espoir, c’est évidemment de pouvoir soutenir encore plus de projets mais avec, aussi, dès cette année, la volonté à la fois d’aider au lancement de projets émergents mais également de continuer à soutenir des projets existants qui voudraient se développer et se renouveler.» Pour ce faire, Be Planet est à l’écoute des porteurs de projets, tout au long du processus.
Les dossiers de candidatures seront réceptionnés jusqu’au 17 septembre à midi à l’adresse beplanet@beplanet.be.
Le dossier à remplir est disponible sur le site Internet http://charleroi.proximitybelgium.be.
par admin6339 | Juil 3, 2021
Des séances vous sont proposées gratuitement les 7 et 8 juillet, de 9h à 12h00, et le 12 juillet, à 9h ou à 13h, s’il y a suffisamment d’inscrits. Inscription auprès de vincent@mpa80.be.
Cette formation “Le bénévolat-volontariat, outil d’insertion socio-professionnelle” est proposée dans le cadre du programme européen transfrontalier Interreg REQUAPASS. Celui-ci vise à faire davantage reconnaître et valoriser les compétences développées ou acquises en milieu associatif, d’autant que ces compétences sont aussi recherchées par les employeurs.
Cette formation s’adresse aux professionnels de l’insertion socio-professionnelle, à qui elle offre un outil supplémentaire. Etaient présents les des deux premières sessions données les 21 et 29 juin des représentants du Centre Régional d’Intégration de Charleroi (CRIC), du Centre Interculturel de Mons et du Borinage (CIMB), de RiseSmart, de TEP et de Job Emancipation Apprentissage Réinsertion (JEFAR), soit autant de structures de réinsertion.
Leur ont été présentés les outils tant pédagogiques que numériques de ces formations REQUAPASS (REconnaissance et QUAlification des Parcours ASSociatifs) visant à valoriser les compétences acquises et développées en milieu associatif (voir www.requapass.eu, onglet “former les acteurs”).
Tous se sont montrés très enthousiastes à l’idée de s’approprier ces outils au sein de leur propre structure et d’en faire bénéficier leur public.
N’hésitez pas, c’est gratuit !
par admin6339 | Juil 1, 2021
Dernier délai le 1er juillet à 14h au plus tard !
Toutes les conditions et modalités sont décrites dans le texte de l’appel à projets Lutte contre la pauvreté 2021.
Type de projets :
Les projets doivent permettre de lutter contre la pauvreté et de réduire les inégalités sociales dans les matières relevant de la FW-B. Une attention particulière sera portée aux projets visant à prévenir et/ou à réduire les impacts de la crise sanitaire de la Covid-19 sur les personnes en situation de pauvreté. Pour être éligibles, les projets doivent être transversaux à au moins deux secteurs de la FW-B : enfance, enseignement, culture, sport, aide à la jeunesse et Maisons de justice.
Les projets doivent également s’inscrire dans un des axes du Plan quinquennal de lutte contre la pauvreté et pour la réduction des inégalités sociales approuvé par le Gouvernement de la FW-B pour la législature 2020-2025 :
- Axe I : Garantir l’accessibilité des services de la FW-B et de l’offre des opérateurs partenaires aux personnes en situation de pauvreté. – Finalité : lutter contre la problématique du non-recours aux services et aux droits, dans les compétences de la FW-B, qui touche particulièrement les personnes en situation de pauvreté.
- Axe 2 : Prévenir les situations de vulnérabilité tout au long du parcours de vie des publics dans les compétences de la FW-B. – Finalité : diminuer le risque de pauvreté et de reproduction des inégalités sociales auprès des publics les plus vulnérables, ainsi que l’aggravation des conditions de vie des personnes en situation de pauvreté.
- Axe 3 : Développer l’expertise de la FW-B en matière de lutte contre la pauvreté et de réduction des inégalités sociales. – Finalité : développer une offre de services de qualité adaptée aux besoins des personnes en situation de pauvreté et rendre plus performante la stratégie de lutte contre la pauvreté de la FW-B.
Modes d’action :
Projets pilotes, recherches-actions, projets de terrain, formations, actions d’information, sensibilisations, animations, ateliers participatifs, outils pédagogiques, etc.
Zone d’action :
Les projets devront être développés sur le territoire de la FW-B. La priorité sera accordée aux projets couvrant au moins un des dix bassins « enseignement qualifiant – formation – emploi » : Bruxelles, Brabant Wallon, Hainaut Centre, Hainaut-Sud, Huy-Waremme, Liège, Luxembourg, Namur, Verviers, Wallonie Picarde5.
Modalités de candidature :
Le dossier de candidature doit être complété pour le 1er juillet 2021, à 14h au plus tard, via la plateforme en ligne SUBsides, accompagné des pièces requises et par tout élément utile à la bonne compréhension du projet.
Toutes les informations relatives à l’appel à projets se trouvent sur le site de l’appel à projets cellule pauvreté.
par admin6339 | Juin 30, 2021
Vous avez un projet qui concerne la transition écologique et solidaire ?
La Ville de Charleroi peut vous financer à hauteur de 10.000 € !
Une soirée – gratuite – de rencontres et d’échanges est organisée pour vous, ce mercredi 30 juin à Jumet.bio (Rue de Borfilet n°2,
6040 Jumet), afin d’échanger de manière conviviale avec :
– des facilitateurs Proximity
– des organisations locales déjà actives sur le territoire
– d’autres porteurs de projets
– les autorités communales
Le but : accompagner les (éventuels) porteurs de projet dans la concrétisation de leurs idées et/ou dans la rédaction de leur dossier. Au programme :
des conseils pour concrétiser vos idées
des échanges avec des acteurs déjà actifs à Charleroi
des rencontres d’autres porteurs de projets
Inscription en ligne : https://crm.beplanet.org/civicrm/event/register/?id=10…
Les informations complètes pour participer à cet appel à projets citoyens sont à retrouver sur la plateforme Proximity :https://proximitybelgium.be/static/Charleroi-actualites