MUS : Aire des coquelicots

MUS : Aire des coquelicots

Aire des Coquelicots Goutroux – Que souhaitez-vous ?

 

La Ville de Charleroi permet à ses citoyens d’émettre leur opinion quant à l’usage de lieux publiques qui sont au cœur des quartiers. Il s’agit ici de définir les usages multiples que l’on veut faire de cet endroit.

Nous vous invitons à rencontrer les représentants de la Ville de Charleroi et de la Maison de la Participation et des Associations ASBL pour imaginer la future aire des Coquelicots. Ce sera une formidable occasion pour nous d’écouter les avis de celles et ceux qui habitent ou fréquentent le quartier.

 

Quand ?

Mardi 24 janvier 2023 à 18h

 

Où ?

Au salon communal de Goutroux

Rue de Leernes 151
6030 Goutroux

 

Après cette rencontre, nous analyserons vos différentes propositions et nous ferons une restitution auprès du bureau d’étude qui se consacre à ce projet. Ce document servira de base au futur projet de réaménagement de l’aire.

 

Nous espérons vous rencontrer nombreuses et nombreux

Appel à projets Initiatives Citoyennes : Votez !

Appel à projets Initiatives Citoyennes : Votez !

Comme chaque année, l’appel à projets « Initiatives citoyennes » porté par la Ville de Charleroi et la Maison de la Participation et des Associations est en ligne avec de nouveaux projets à vous présenter !

Dans le cadre de cet appel, des groupes de citoyens et/ou des associations se sont mobilisés et ont proposés ensemble des projets touchants à :

  • création d’espace de rencontres inter-générations ;
  • stimulation des relations interculturelles et sociales ;
  • amélioration de la convivialité dans les quartiers ;
  • création et/ou amélioration des relations entre les personnes ;
  • aménagement d’espaces de convivialité sur les espaces communaux ;
  • favorisant l’intégration sociale ;
  • favorisant l’accès à la culture et au savoir ;
  • amélioration du cadre de vie ;
  • valorisation des savoir-faire locaux ;
  • valorisation de l’identité communale et de quartier.

 

Tous ces dossiers vous sont proposés sur la plateforme Charleroi Mon opinion et peuvent être consultés en ligne. L’appel à projets s’inscrivant dans les enjeux favorisant la participation et la mobilisation citoyenne en faveur de la convivialité et de la cohésion sociale dans les quartiers ainsi que du « mieux vivre ensemble », il vous est aussi possible d’élire les projets qui seront récompensés durant ce mois de juin.

Pour ce faire, deux méthodes existent :

– La méthode numérique : Rendez vous sur la plateforme Charleroi Mon opinion, dans l’onglet “appel à projets 2023” et sélectionnez les projets qui vous tiennent à coeur. Vous pouvez voter pour 3 projets minimum mais le montant alloué ne doit pas dépasser les 40.000 €.

  1. S’inscrire via la barre menu en haut à droite de la page
  2. Se connecter avec son identifiant et son mot de passe (10 caractères minimum)
  3. Cliquez sur “appel à projets 2023” puis sur “votes”
  4. Faites votre choix au sein des deux pages de projets
  5. Validez votre choix
  6. Confirmez votre vote grâce au mail que vous aurez reçu

– La méthode papier : Rendez vous dans une Maison Communale Annexe (recensées ci-dessous) pour remplir un bulletin avec 3 projets qui vous tiennent à coeur dans la liste et le glisser dans l’urne :

HOTEL DE VILLE (ENTRÉE PLACE DU MANÈGE)
Place Charles II 14-15
6000 Charleroi

MAISON COMMUNALE ANNEXE
Place J. Destrée
6060 Gilly

CENTRE CIVIQUE
Rue Junius Massau 4
6041 Gosselies

MAISON COMMUNALE ANNEXE
Place Kennedy 1
6030 Marchienne-au-Pont

MAISON COMMUNALE ANNEXE
Avenue Mascaux 100
6001 Marcinelle

 

Concertation : Prix de l’énergie dans l’associatif #2

Concertation : Prix de l’énergie dans l’associatif #2

La hausse des prix de l’énergie est un problème qui concerne tout le monde ces derniers temps, que ce soit les ménages, les particuliers ou les associations. Certaines associations sont particulièrement touchées par cette hausse, notamment celles qui possèdent ou occupent des locaux et qui doivent faire face à des factures énergétiques importantes qui peuvent les mettre en difficulté financièrement.

C’est pourquoi un groupe de discussion associatif s’est créé le 14 décembre et souhaite s’élargir en invitant d’autres associations à participer. L’objectif de ce groupe est de se réunir et de se mobiliser pour trouver des solutions concrètes qui permettront d’améliorer les conditions financières du tissu associatif. Plusieurs pistes sont sur la table et toutes les idées sont les bienvenues.

Il est important de se mobiliser et de trouver des solutions pour aider les associations à faire face à cette hausse des prix de l’énergie qui peut être difficile à gérer. Si vous êtes une association et que vous souhaitez participer à ce groupe de discussion, joignez-vous à nous !

 

De nombreuses pistes sont sur la table, prenons la parole !

Quand ?

Le 11 janvier 2023 à 12h

Où ?

À la Maison de la Participation et des Associations

Route de Mons 80
6030 Marchienne-au-pont

Plus d’infos et inscriptions ?

inscription@mpacharleroi.be

Résumé de la précédente concertation énergie

Résumé de la précédente concertation énergie

Le secteur associatif est très inquiet face à la hausse des coûts de l’énergie, qui ont triplé sans qu’il soit possible de diviser par 3 la consommation. Afin de trouver des solutions à ce problème, une table ronde sur l’énergie est organisée ce mercredi 11 janvier 2023 à 12h à la MPA. Des représentants de différentes associations, telles que Avanti, Avantissimo, Marchienne Babel, Coopeco, Collectif Composite, La Consoude, Maison de la Presse, MPA, Tendance Urbaine, Entraide et fraternite/Vire Ensemble, CP/Jaquady, Sambrienne, Cenforsoc et SOS Deuil, sont présents à la réunion suite à une invitation diffusée dans le réseau de la MPA.

 

Afin de mobiliser le réseau et de créer une dynamique collective, il est important de se positionner et de s’interpeller sur les initiatives existantes, tant au niveau régional qu’au niveau fédéral. Plusieurs pistes sont à envisager :

  • A court terme, il pourrait être intéressant d’organiser un groupement d’achat et de ne pas payer la facture de régularisation.
  • A moyen terme, il pourrait être judicieux de créer un fond de solidarité.
  • A long terme, il pourrait être possible de mettre en place un tarif social pour les personnes morales.

 

Il est également important de se renseigner sur les fournisseurs d’énergie et sur les démarches à entreprendre pour émanciper les associations. Pour les personnes privées, il est possible de faire appel à des mutuelles ou au CPAS, tandis que pour les personnes morales, il pourrait être intéressant de créer un fond de solidarité pour permettre aux associations de poursuivre leurs activités pour leurs bénéficiaires, plutôt que de payer des factures de fonctionnement.

 

Il est recommandé de faire le relevé de sa consommation chaque mois et d’installer via ORES un compteur communiquant (Coffret 26S60) en attendant de trouver des solutions durables à ce problème. En agissant de manière collective et en faisant appel à l’intelligence collective, nous pourrons trouver des solutions pour faire face à cette hausse des coûts de l’énergie.

Incapacité de travail pour cause de maladie ou d’accident : Nouvelles mesures

Incapacité de travail pour cause de maladie ou d’accident : Nouvelles mesures

 Dispense du certificat médical pour le premier jour d’incapacité de travail  

Dans la mesure où il existe une obligation dans l’entreprise de présenter un certificat médical – soit sur la base d’une convention collective de travail, soit sur la base du règlement du travail – le travailleur sera dispensé de cette obligation trois fois par année calendrier pour le premier jour de l’incapacité de travail. Le travailleur qui fait usage de cette dispense n’est pas non plus tenu de présenter un certificat médical à la demande de l’employeur.

Cette dispense s’applique aussi bien à une incapacité de travail d’un jour qu’au premier jour d’une période d’incapacité de travail plus longue.

Toutefois, le travailleur qui fait usage de cette dispense reste tenu d’informer immédiatement son employeur de son incapacité de travail. Si le travailleur ne se trouve pas à son lieu de résidence habituel pendant le premier jour d’incapacité de travail, il doit également communiquer immédiatement à son employeur l’adresse à laquelle il se trouve.
Les entreprises qui occupent moins de 50 travailleurs au 1er janvier de l’année civile au cours de laquelle survient l’incapacité, peuvent déroger à cette exemption par le biais d’une convention collective de travail ou du règlement du travail.

 

Nouvelle procédure pour la rupture du contrat de travail pour force majeure médicale  

Depuis le 28 novembre 2022, une nouvelle procédure est mise en place.

 

Quand cette procédure peut-elle démarrer ?  

Pour donner toutes les chances à la remise au travail et à la réintégration (avec ou non un travail adapté ou un autre travail), il n’est possible de démarrer la procédure de force majeure médicale qu’après neuf mois au moins d’incapacité de travail et pour autant qu’aucun trajet de réintégration ne soit pas en cours pour le travailleur.

Cette période de neuf mois peut être interrompue uniquement par une reprise effective du travail par le travailleur, laquelle n’est pas suivie d’une nouvelle incapacité de travail dans les quatorze jours.

Il y a 4 étapes à la nouvelle procédure de rupture pour force majeure médicale :

  1. introduction de la procédure par le travailleur ou l’employeur ;
  2. évaluation d’inaptitude par le médecin du travail ;
  3. rédaction d’un plan pour un travail adapté ou pour un autre travail par l’employeur ;
  4. décision du travailleur : il peut accepter ou refuser le plan rédigé par son employeur.

 

Pour pouvoir mettre fin au contrat pour force majeure médicale, il faut remplir les conditions suivantes :

  • le travailleur doit être définitivement incapable d’exercer la fonction convenue dans son contrat de travail ;
  • son incapacité définitive doit être constatée par :
      • le médecin du travail ;
        ​​​​​​​ou
      • le médecin inspecteur social de la Direction générale du Contrôle du bien-être au travail.
  • il faut mener la procédure de rupture pour force majeure médicale jusqu’au bout ;
  • le travailleur ne doit plus pouvoir introduire un recours contre la décision du médecin du travail.

 

La rupture du contrat pour force majeure médicale peut être invoquée dans 3 situations :

  1. Le travailleur ne demande pas au médecin du travail d’examiner si un travail adapté ou un autre travail est compatible avec son état de santé.
  2. Le travailleur refuse le plan pour un travail adapté ou pour un autre travail fait par son employeur.
  3. L’employeur ne propose pas de plan pour un travail adapté ou pour un autre travail, parce qu’il estime que ce n’est pas possible.

Sources :